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Je néglige mes talents
Très loin, derrière les montagnes de mots, loin des pays Vokalia et Consonantia, vivent les textes aveugles. Séparés, ils vivent à Bookmarksgrove, sur la côte de la Sémantique, un grand océan linguistique. Une petite rivière nommée Duden coule près de chez eux et les approvisionne en regelialia. C’est un pays paradisiaque, dans lequel les parties rôties des phrases volent dans votre bouche. Même le tout-puissant Pointeur n’a aucun contrôle sur les textes des aveugles : c’est une vie presque inorthographique.
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Très loin, derrière les montagnes de mots, loin des pays Vokalia et Consonantia, vivent les textes aveugles. Séparés, ils vivent à Bookmarksgrove, sur la côte de la Sémantique, un grand océan linguistique. Une petite rivière nommée Duden coule près de chez eux et les approvisionne en regelialia. C’est un pays paradisiaque dans lequel les parties grillées des phrases volent dans votre bouche. Même le tout-puissant Pointeur n’a aucun contrôle sur les textes aveugles ; c’est une vie presque inorthographique ; un jour cependant une petite ligne.
- Le feuillage impénétrable de mes arbres, et seulement quelques lueurs parasites.
- Une merveilleuse sérénité s’est emparée de toute mon âme.
- Je serais incapable de dessiner un seul trait en ce moment.
Je suis si heureux, mon cher ami, si absorbé par le sentiment exquis de la simple existence tranquille, que je néglige mes talents. Je serais incapable de dessiner un seul trait à l’heure actuelle et pourtant.
Très loin, derrière les montagnes de mots, loin des pays Vokalia et Consonantia, vivent les textes aveugles. Séparés, ils vivent dans des Signets.
- Le feuillage impénétrable de mes arbres, et seulement quelques lueurs parasites.
- Une merveilleuse sérénité s’est emparée de toute mon âme.
- Je serais incapable de dessiner un seul trait en ce moment.
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- Le feuillage impénétrable de mes arbres, et seulement quelques lueurs parasites.
- Une merveilleuse sérénité s’est emparée de toute mon âme.
- Je serais incapable de dessiner un seul trait en ce moment.
La literie était à peine capable de le couvrir
La literie arrivait à peine à le recouvrir et semblait prête à glisser à tout moment. Ses nombreuses jambes, d’une maigreur pitoyable par rapport à la taille du reste du corps, s’agitaient impuissantes sous son regard.
“Que m’est-il arrivé ?” pensa-t-il. Ce n’était pas un rêve. Sa chambre, un véritable humain” bien qu’un peu trop petite, reposait paisiblement entre ses quatre Un matin, lorsque Gregor Samsa se réveilla de ses rêves troublés, il se retrouva transformé dans son lit en une horrible vermine.
Il était couché sur son dos en forme d’armure, et s’il levait un peu la tête, il pouvait voir son ventre brun, légèrement bombé et divisé par des arcs en sections rigides. Très loin, derrière les montagnes de mots, loin des pays Vokalia et Consonantia, vivent les textes aveugles. Séparés, ils vivent à Bookmarksgrove, sur la côte de la Sémantique, une grande langue et un grand océan. Une petite rivière nommée Duden coule près de chez eux. Un matin, lorsque Gregor Samsa se réveilla de ses rêves troublés, il se trouva transformé dans son lit en une horrible vermine. Il était couché sur son dos en forme d’armure, et s’il levait un peu la tête, il pouvait voir son ventre brun, légèrement bombé et divisé par des arcs en sections rigides. La literie arrivait à peine à le recouvrir et semblait prête à glisser.
